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C'est quand les temps sont durs et moroses que l'optimisme a tout son sens !
Dans mon article d'hier* je partageais l'importance de pratiquer l'optimisme justement quand les temps se dont oppressants.
Parmi tous les exercices possibles qui entretiennent un esprit positif, il y a celui de se souvenir de moments positifs.
Se souvenir de ce qui fonctionne.
Se souvenir de ce qui a déjà fonctionné avec la conviction que, puisque c'était possible avant, avec de la volonté et de la bonne foi, ça l'est probablement encore aujourd'hui.
Se souvenir que, dans l'Histoire, au milieu des tumultes géopolitiques, il y a toujours eu des moments de lueurs pleines de bon sens, de légèretés et de pertinences humaines.
Se souvenir aussi que le rire est fédérateur et dédramatise les contextes les plus complexes.
Se souvenir de ce qui fonctionne.
Se souvenir de ce qui a déjà fonctionné avec la conviction que, puisque c'était possible avant, avec de la volonté et de la bonne foi, ça l'est probablement encore aujourd'hui.
Se souvenir que, dans l'Histoire, au milieu des tumultes géopolitiques, il y a toujours eu des moments de lueurs pleines de bon sens, de légèretés et de pertinences humaines.
Se souvenir aussi que le rire est fédérateur et dédramatise les contextes les plus complexes.
Aujourd'hui j'ai envie de partager avec vous un moment de l'Histoire dont certains se souviennent certainement (si tu as plus de 30 ans 😉 ).
J'avais tout juste 35 ans et je me souviens avoir regardé le journal télévisé qui se faisait le relais d'un événement majeur dans le conflit Bosniaque.
La rencontre se déroule à New York le 23 octobre 1995.
Boris Eltsine et Bill Clinton sortent d'un long tête à tête et ont parlé de sujets qui fâchent.
Les accords sur l'ex-Yougoslavie et l'intervention de l'OTAN est vu d'un très mauvais oeil de la part du dirigeant russe.
Néanmoins, les deux présidents s’entendent plutôt bien. Lors de cette conférence de presse désormais mémorable, le ton change du tout au tout.
Ce fou rire a détendu les tensions alors présentes quelques minutes auparavant.
Boris Eltsine et Bill Clinton sortent d'un long tête à tête et ont parlé de sujets qui fâchent.
Les accords sur l'ex-Yougoslavie et l'intervention de l'OTAN est vu d'un très mauvais oeil de la part du dirigeant russe.
Néanmoins, les deux présidents s’entendent plutôt bien. Lors de cette conférence de presse désormais mémorable, le ton change du tout au tout.
Ce fou rire a détendu les tensions alors présentes quelques minutes auparavant.